On ira voir la mer demain. Ou dimanche.

couverture On ira voir la mer demain. Ou dimanche.
Illustration et maquette : Alexandra Garros

 

Notre deuxième livre s’inscrit dans une période de mouvement d’émancipation et de revendication des femmes au-delà de l’égalité : le droit à la justice pour les violences subies, le plus souvent au sein même des familles.

4ème de couverture

À l’origine de ce roman, une pièce de théâtre de Marie-Cécile Fourès, Libre(s).

Depuis 2017, cette pièce montre comment les violences intrafamiliales viennent créer un traumatisme qui dépasse le couple et concerne toute la société.

Nous considérons qu’écrire de la fiction c’est écrire le monde. Ce livre contribue à la connaissance des implications sociales et familiales qui dépassent le drame et son issue. Le traumatisme concerne la société entière qui est aujourd’hui incapable de prendre en charge les plus faibles de ses concitoyens. Pascale poursuit sa condamnation à l’extérieur de la prison. Coupable comme victime, le purgatoire est à vie.

Par le renversement de situation, Pascale donne sa voix à toutes les femmes.

Quelques ouvrages complémentaires :
Susan Glaspell, Jugée par ses paires, Tendance Négative, 2023
Ludovic Ninet, L’Affaire Cécillon, Chantal, récit d’un féminicide, Les Presses de la Cité, 2023
Rose Lamy, En bons pères de famille, JC Lattès, 2021
Perrine Le Querrec, Rouge pute, La Contre Allée, 2020
Valentine Faure, Lorsque je me suis relevée, j’ai pris mon fusil, Grasset, 2018

 

Vous pouvez commander votre exemplaire sur notre boutique en ligne.

1 € sur chaque vente sera reversé à l’association Olympe de Gouges qui œuvre à Toulouse pour la protection et la réinsertion des femmes victimes de violences.

Olympe de Gouges